Le gode ceinture, perplexe devant ce jouet ? Vous pensez que ce jeu n’est pas fait pour vous ?
Alors voici pourquoi en tant que Dominatrice, j’aime utiliser le gode ceinture sur mon soumis :
Sodomiser un homme, Je dois admettre que j’avais ce fantasme au fond de moi bien avant de découvrir le BDSM, certainement, la dominatrice qui dormait en moi…!
Dominer un homme et de surcroit un soumis en le sodomisant offre une sensation de pouvoir ultime, je me sens forte et déterminée dans ces moments.
Je ressens tout d’abord la crainte dans les yeux de mon objet sexuel (mon soumis), mais aussi le désir , car même si il appréhende au début, il sait qu’il va prendre du plaisir .
Le plaisir que je ressens dans le fait de sodomiser mon soumis est autant physique que psychologique. Le mental est d’ailleurs très important pour moi dans une relation Ds !
Psychiquement, je me laisse aller à de nouveaux plaisirs, à braver des interdits . Il est très satisfaisant pour moi de savoir que j’ai donné du plaisir et de l’humiliation, ça me fait autant mouillé que s’il me léchait…
En conclusion, n’hésitez plus, sodomiser un homme avec un gode ceinture, c’est Wouhaaaa !
Les 10 jouets indispensables pour débuter dans le BDSM :
Vous êtes attirés par le BDSM, mais les possibilités de jeux sont infinies et la grande variété de jouets sur le marché rend le choix difficile parfois.
Je peux vous aider !
Voici Les 10 jouets qui devraient être dans chaque sac de jouet BDSM. Pourquoi ? Parce qu’ils permettent la polyvalence en matière d’intensité et de style de jeu. De plus, ils vont passer à travers presque tout type de scenarii et sont parfaits pour les débutants.
Le bandeau ou cagoule.
La privation des sens est souvent la pierre angulaire de scènes BDSM. Quand un sens est supprimé, les autres s’amplifient. Ôtez la capacité de voir et tout à coup tous les sons, l’odorat, le toucher et le goût deviennent émoustillants, une aventure mystérieuse.
Le bâillon.
Un autre sens que vous pouvez retirer à votre soumis est sa capacité à parler, pour faire place à d’autres façons d’exprimer ses ressentis et sensations telles que gémissements, frissons et bien d’autres… Le bâillon à Boule est surement le plus répandu pour les débutants, mais il peut être difficile pour les personnes ayant des problèmes de mâchoire. Le bâillon anneau sera une meilleure option dans ce cas. Bien sûr, vous pouvez aussi utiliser un mors tel que celui en forme d’os de chien pour rajouter un peu d’humiliation. En lieu et place d’un bâillon, vous pouvez toujours utiliser votre petite culotte !
Les entraves.
Ceci est un autre élément incontournable des jeux BDSM, et les options sont nombreuses. Pour commencer, La Bande de Bondage est facile à utiliser, à usage unique et est conçue pour ne pas coller à elle – même. Les bracelets souples pour poignets et/ou chevilles de base en Néoprène avec fermeture velcro sont également très bien pour commencer. Ensuite vous trouverez des bracelets pour tous les gouts, en différentes matières, tel que le cuir, l’acier et bien d’autre. Par contre, les menottes en métal de type police, sont à ajuster avec précaution pour ne pas blesser votre partenaire.
La roulette Wartenberg.
La roulette Wartenberg est un jouet merveilleux et un must pour le kit BDSM de tout le monde. Pour utiliser une roulette Wartenberg , rouler fermement mais doucement sur la peau de votre amant. Si vous appliquez une pression trop forte, il est possible de percer la peau. Assurez-vous de tester sur vous-même pour trouver la bonne touche avant de l’essayer sur d’autres. Elle est idéale à utiliser avec la privation sensorielle et se ressent mieux sur des zones tendres comme les mamelons, l’arrière du cou, à l’intérieur des cuisses, etc.
Pinces de corps.
Les Pinces offrent beaucoup de possibilités. Elles peuvent être utilisées sur les lèvres, les testicules, la langue et des lèvres et d’autres parties du corps. Pour débuter, je conseille des pinces à linge ou des pinces réglables, On peut ainsi contrôler à sa guise le serrage. Les mamelons sont une partie du corps extrêmement sensible et érogène, n’y allez pas trop fort dans un premier temps.
Godemiché et/ou Vibreur.
Magic Wands, Vibromasseurs, godes, boules de Geisha. Massage de la prostate, clito… Toutes les bonnes vibrations sont possibles ! Les vibrateurs peuvent être utilisés pour le plaisir ou pour le jeu consensuel de l’orgasme forcé. En outre, c’est une bonne idée d’avoir aussi quelques godes ou plugs non vibrant à portée de main qui sont appropriés pour le point G où la prostate.
La Cravache.
Les cravaches sont des instruments de jeu d’impacts polyvalents qui peuvent être doux ou intense selon la façon dont vous les maniez. Faites très doucement avec les organes génitaux et les mamelons et un peu plus fort à l’arrière des cuisses et sur les fesses.
La canne.
Les Cannes sont disponibles dans plusieurs matériaux tels que le bois, l’acrylique et le plastique. En outre, elles peuvent aussi être très douloureuses. Elles ne sont pas pour les faibles car pas beaucoup de force est nécessaire pour infliger de la douleur et laisser des traces sur quelqu’un. Les meilleurs endroits pour frapper avec une canne sont les fesses et les cuisses.
Le Flogger ou martinet.
Différents types de floggers produisent différentes sortes de sensations. Floggers avec beaucoup de larges lanières douces en daim seront les plus doux, suivis par les cuirs les plus lourds et simili cuir. Pour une sensation plus douloureuse, optez pour un flogger avec des lanières plus minces. Les floggers fabriqués à partir de cordons en caoutchouc ou en nylon sont particulièrement brutaux.
La tapette.
Les tapettes offrent un large éventail de sensations. Vous pouvez les trouver fabriqués à partir de bois, métal, plastique, cuir, simili cuir et beaucoup d’autres matériaux qui donnent à chacun différentes sensations. Certains ont un rembourrage doux sur un côté pour une sensation plus sensuelle.
Pour finir, la chose la plus importante à inclure dans votre kit de jeu est votre imagination. Votre créativité et votre volonté d’explorer sont les éléments les plus essentiels pour faire de vos jeux des moments passionnés et mémorables. Amusez-vous et prenez du plaisir !
Ou plus littéralement “l’engourdissement”, cette technique est beaucoup utilisée par les couples pratiquant la chasteté.
Les femmes qui ont découvert cette pratique en raffolent : Elle leur assure un plaisir ultime lors de rapports sexuels où l’homme peut atteindre des performances qu’il ne soupçonnait même pas !
Le principe, simple en soi, consiste à anesthésier plus ou mois le membre en érection de votre homme afin qu’il ne ressente plus de plaisir lors du rapport sexuel tout en l’obligeant à garder une érection fabuleuse.
Vous l’avez compris, Il est donc possible d’avoir des rapports sexuels tout en contrôlant le plaisir de votre partenaire. S’il porte habituellement une cage de chasteté, vous ne risquerez plus de rompre ses périodes d’abstinence sexuelle.
Vous pourrez par conséquent vous rassasier de tout le plaisir dont vous avez besoin tout en vous assurant de garder votre partenaire actif mais dans un état de grande frustration sexuelle. Ne pouvant plus éprouver de plaisir, ce dernier n’en sera que plus attentionné et performant.
Il vous suffit d’enduire le gland du membre en érection d’une crème appropriée, recouvrir d’un préservatif puis bien lubrifier. Pour encore plus de fun, il vous est possible de rajouter sur l’extérieur du préservatif une crème favorisant votre stimulation.
N’hésitez pas à enserrer la base du membre de votre partenaire dans un cockring afin d’en augmenter l’érection.
Les produits conseillés pour cette technique :
– La crème anesthésiante “Sta-Hard” : La plus efficace des crèmes de numbing.
– Le gel orgasmique “Hot-Pink” pour sensibiliser la paroi vaginale et votre point G
– Le lubrifiant silicone ” Pjur ORIGINAL” ou le lubrifiant aqueux “Pjur AQUA” pour améliorer le confort de la pénétration.
– Des préservatifs, pour ne pas subir le numbing de votre partenaire.
Vous serez surprise de réaliser comment cette technique permet de vous emmener vers le nirvana en autorisant votre homme à se focaliser sur votre plaisir exclusif… Le numbing sera une excellente base dans vos jeux de domination et de frustration sexuelle.
Le BDSM inclut bondage et discipline (BD), domination et soumission (DS) et sadomasochisme (SM). Ces termes sont rassemblés ainsi car le BDSM peut représenter beaucoup de choses différentes pour différentes personnes aux préférences diverses. La plupart du temps, l’intérêt d’une personne tombe dans une ou deux de ces catégories plutôt que toutes.
Une relation BDSM n’implique pas toujours du sexe.
La plupart des gens pensent que BDSM et sexe sont obligatoirement liés, et bien que ça soit parfois le cas, certains tracent une ligne bien définie entre les deux.
« Les deux sont des expériences charnelles très intenses et sensuelles qui provoquent beaucoup de sensations très fortes, mais ce sont des choses différentes ».Comparons cela à un massage. Parfois, aussi sensuel qu’il semble l’être, un massage reste un massage. Pour d’autres, un massage amène presque toujours au sexe. C’est un peu la même chose avec le BDSM : c’est une question de préférence personnelle et sexuelle.
Il n’y a rien de fondamentalement pervers ou dérangé chez ceux à qui ça plaît.
C’est l’une des idées fausses les plus courantes et les plus frustrantes au sujet du BDSM. Le BDSM n’est pas lié à la maltraitance ni aux violences conjugales, et le pratiquer ne signifie pas que vous aimez maltraiter ou être maltraité(e).
Aimer le BDSM n’est qu’une des facettes de la sexualité et du mode de vie d’une personne. « Ce sont juste des gens ordinaires qui se trouvent prendre du plaisir de cette façon ». « Ce sont vos voisins, vos professeurs et vos caissiers. Le plus grand mythe est que cela requiert des circonstances particulières. Ce sont juste des gens ordinaires qui ont besoin de ça dans leur dynamique intime. »
Sachez que vous pouvez toujours dire non.
« Au début, beaucoup de gens pensent que c’est “tout ou rien”, surtout ceux qui n’ont eu qu’un seul partenaire dans leur vie ». Par exemple, vous pourriez penser que parce que vous avez aimé être soumis(e) dans certaines circonstances, cela signifie que vous devez accepter tout un tas de comportements soumis ou masochistes même s’ils ne vous plaisent pas.
Mais c’est complètement faux. Vous pouvez, et devriez, choisir les activités BDSM qui vous intéressent et uniquement celles-là. Et elles peuvent varier en fonction de la situation, du partenaire ou même de la journée. Souvenez-vous que le consentement est requis dans le BDSM, et qu’il est possible de consentir à une chose tout en en refusant une autre.
Les pratiquants du BDSM ne sont pas moins stables que ceux qui préfèrent le sexe classique.
Les gens qui n’ont pas eu à souffrir de maltraitance peuvent plus facilement apprécier le BDSM, ceux qui en sont à un point plus stable de leur vie »… Une étude de 2008 publiée dans le Journal of Sexual Medicine a découvert que les personnes ayant pratiqué le BDSM durant l’année précédente n’ont pas plus été forcées à pratiquer des activités sexuelles, et ne sont pas moins heureuses ni plus anxieuses que ceux n’ayant pas pratiqué de BDSM. En réalité, les hommes ayant pratiqué le BDSM étaient moins stressés psychologiquement que les autres.
Il n’y a pas que le fouet et les chaînes, voire pas du tout, si ce n’est pas votre truc.
Bien sûr, certains amateurs de SM peuvent en avoir dans leur arsenal, mais ce n’est pas la tasse de thé de tout le monde. « Certains aiment la “domination sensuelle”, qui peut inclure quelques jouets et jeux mais sans aucune douleur ».
« C’est juste que l’un des partenaires accepte de faire tout ce que l’autre lui demande. Le BDSM ne doit pas forcément se conformer à un modèle en particulier, et il n’existe aucun modèle définissant à quoi une relation BDSM doit ressembler. »
Ça peut être aussi simple ou aussi technique que vous le souhaitez.
Peut-être que l’idée d’être attaché(e) vous excite, ou alors vous aimez donner ou recevoir des fessées. Ou peut-être êtes-vous plus intéressé(e) par les masques en cuir et les pinces à seins et la cire chaude. Tout cela (et bien plus) fait partie du monde BDSM. En gros, vous pouvez très bien apprécier les choses coquines sans avoir à jamais entrer dans un donjon.
Avant d’aller trop loin, faites des recherches.
Utiliser un bandeau, un glaçon ou les menottes qu’on vous a offertes lors de votre enterrement de vie de jeune fille sont des pratiques plutôt sans risque pour débuter. Mais avant de vous essayer aux outils plus complexes, vous devez apprendre à les utiliser de manière sûre. Même une corde ou un fouet peut se révéler dangereux si vous ne savez pas vous en servir.
Le BDSM demande beaucoup de lecture et d’apprentissage.
Si vous êtes du genre à jeter le manuel et à tenter de construire l’étagère à l’instinct, le BDSM n’est probablement pas fait pour vous. « La plus grande partie de ce que l’on appelle l’éducation BDSM consiste à trouver comment maximiser l’extase tout en minimisant le risque ». « Comment réaliser tous vos fantasmes en toute sécurité. »
Les cours, les conférences et les meetings peuvent également aider à apprendre certaines techniques spécifiques. FetLife.com est une autre ressource populaire, une sorte de réseau Facebook pour la communauté BDSM vous permettant de rejoindre des forums, des groupes et des cours près de chez vous.
Les codes de sécurité existent vraiment.
Ça peut sembler ringard, mais c’est une norme bien établie en BDSM.
« Les codes de sécurité sont probablement l’une des normes les plus importantes s’étant répandues à travers la communauté, même si les gens les utilisent de différentes manières ». Par exemple, certains les utilisent de moins en moins avec le temps, mais il est important de les utiliser au début. Ça peut être ce que vous voulez, du moment que ce n’est pas quelque chose que vous diriez en temps normal.
Il y a probablement beaucoup plus de dialogue, par rapport au sexe classique.
Si vous doutez du rôle du consentement en BDSM, vous devriez voir l’énorme communication qui se fait avant, pendant et après chaque séance. « On en discute beaucoup à chaque fois avant de commencer ». « On discute de ce dont on a envie, de ce qu’on va faire, de nos fantasmes… C’est comme ça qu’on négocie une bonne relation en tant que pratiquants du BDSM. »
Il y a une période de pré-négociation, où les partenaires discutent de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils n’aiment pas et de ce qu’ils refusent catégoriquement.
C’est une sorte d’introduction à chaque séance. « C’est une manière de discuter de l’expérience à l’avance, ce qui permet de renforcer la sécurité émotionnelle ». Il peut y avoir des scripts et des listes ou des discussions moins formelles sur les attentes de chacun, ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas, et tout mot ou action que l’on refuse catégoriquement.
Puis vient l’après-séance, la période de debriefing une fois la séance terminée.
Le BDSM pouvant être une expérience extrêmement intense et émotionnelle pour certains, la plupart des experts recommandent fortement cette dernière étape, durant laquelle les partenaires peuvent discuter de la séance et de toute éventuelle réaction qu’ils auraient eue. « Les gens sont extrêmement vulnérables après une séance ». « Ne pas avoir cette période d’après-séance peut rendre les choses très confuses. » Cela peut également permettre de créer des liens forts entre les partenaires.
Il existe beaucoup de fouets différents. Il y a les cravaches, les fouets en cuir, les fouets à une seule lanière, les fouets à plusieurs lanières plates et larges… La liste est longue. Mais comme certains peuvent être plus dangereux que d’autres, il faut vraiment apprendre à les utiliser correctement. Les personnes se mettant au fouet commencent souvent par s’entraîner sur un oreiller ou sur un petit objet à distance tel qu’un interrupteur.
Et il y a des endroits que vous ne voulez vraiment pas fouetter. Par exemple, dans la région des reins. La peau y est fine et ce sont des organes vitaux.
Si vous aimeriez en discuter dans votre relation actuelle, n’hésitez pas.
Il y a beaucoup d’histoires de personnes trop anxieuses pour en discuter qui finissent par découvrir que leur partenaire avait le même fantasme ». Si en parler vous rend nerveux, demandez à votre partenaire si lire un certain livre ou visiter un atelier dont vous avez entendu parler ne l’intéresserait pas. Ou bien discutez-en dans le contexte des fantasmes sexuels en demandant à votre partenaire s’il/elle a déjà essayé ou a déjà eu envie d’essayer le BDSM. Au final, vous ne risquez rien d’autre qu’une conversation embarrassante, et un gros bénéfice si cela aboutit à quelque chose qui vous plaît.
Finalement, c’est complètement différent de ce que la plupart des gens imaginent.
Entre les stéréotypes, la pornographie et Cinquante nuances de Grey, il y a beaucoup d’idées reçues sur le BDSM. Tout comme avec le sexe classique, si vous voulez vous améliorer, il faut comprendre comment les choses se passent.
Dans la relation D/S, les symboles, et surtout celui du lien qui unit la Maîtresse ou le Maître à Son soumis/Sa soumise, a un rôle particulièrement majeur. Le collier est porté par la personne soumise et comporte un anneau ou plusieurs anneaux permettant l’attache d’une laisse ou des liens permettant le bondage. Le collier n’est pas une simple parure à vertu esthétique, mais il porte une signification claire et puissante, signe d’un état et du désir de le vivre. Il signifie, pour simplifier, ” Ma nature est d’être soumise”.
Il y a bon nombre de choix possible, que ce soit au niveau des matières, des couleurs et des tailles. Le collier est le plus souvent fabriqué en cuir, mais il en existe également en métal, en latex, en caoutchouc, en tissu, voire en PVC.
Le collier en cuir
C’est surement le plus utilisé, car facile à mettre en place, il est souvent muni d’un, ou plusieurs anneaux pour y ajouter une laisse ou des attaches de bondage. Généralement équipé de fermeture à sangle réglable permettant de s’adapter à la plupart des tours de cou et d’un verrouillage par cadenas obligeant ainsi le où la soumise à garder le collier bien en place, qu’il où elle le veuille ou non. On en trouve dans des styles vraiment différents avec une contrainte physique plus ou moins forte selon l’épaisseur et la largeur du collier, le sentiment d’appartenance sera alors plus ou moins fort.
Le Collier d’Esclave en acier
À mon goût, le plus luxueux et probablement le plus puissant en sensation et en restriction le Collier d’Esclave acier. Il est généralement lourd et totalement inviolable et il sera le collier par excellence dans une relation D/s. Une fois en place, il ne sera plus possible de l’enlever à moins de posséder la clé. Son poids rappelle à chaque instant sa présence et sa signification, ce qui permet de plonger totalement dans cet état de soumission si rechercher…
Finalement, je me laisserais bien tenter par la soumission rien que pour le plaisir de m’offrir de beaux colliers… Non, non, ne rêvezpas messieurs, ce n’est pas prêt d’arriver !